Scénario/ Direction artistique : Mary Bach Réalisation/ Montage : Sébastien Ravizé 1er assistant mise en scène : Glenn Beauvais 2nd assistante mise en scène : Perrine Prodhomme Productrice / Régisseuse générale : Olivia Lancelot Chef opérateur : Lucas Courouge Chef électricien : Quentin Otto-Bruc Electro : Clément Lemoule Duparc 1er Assistant Caméra : Arthue Bazin 2nd Assistant Caméra : Matéo Ducoureau Lalanza Chef Machiniste : Hugo Cheze Chef Maquilleuse : Marie Minéo Maquilleuse : Shana Baudet Photographe de plateau : Eva Cousinet Décors : Escape Game " The Hostel " Production : EDMA prod Avec : Marie Boussarie, Emma Delburg, Tom Ferrari, Talia Stroh, Som Chintanavitch, Simon Aspe, Nina Piguet, Mickael Duprat, Manon Marollaud, Loraine Greff, Lilian Martin, Cathlyne Ros, Léa Delmond, Julien Lassus, Jo Mattera, Claire Porcher, Aylie Landès, Andy Gazzera « Il abuse de ses charmes pour nous conquérir Quand Il décore le drame juste avant de s'enfuir Ce n'est qu'un paradoxe celui d'un goût amer Qui montre un paradis pour maquiller l'enfer.  Un peu de lumière noir qui occulte le jour Mais les couleurs se fanent dès qu'il est de retour »   Illustrer le paradoxe des paradis artificiels qui montrent le meilleur pour finalement rendre le pire. En symbolisant cette folle envie de vivre qui brûle au chevet de la mort quand la liberté et la dépendance s'entrecroisent jusqu'à ce que l'on ne puisse plus les séparer ni les distinguer.   Un cercle vicieux sans issue, celui de la quête d'un plaisir inassouvi et de la course vers une liberté qui se fane à mesure que l'on croit s'en rapprocher.   Rattrapé par la gravité dans cette escalade insensée, rien n'échappe à la loi des corps. Ce qui est monté devra sans cesse redescendre. Toujours plus haut, toujours plus fort, toujours plus bas jusqu'à la  mort ? Paroles : Dans le noir de nos yeux, j'aperçois l'horizon Et plus loin dans le creux, je n'vois plus qu'une prison Belle et artificielle, elle m'emmène et m'inspire Mais bien qu'immatérielle je la perçois bien pire   Et si loin de nos peines, je l'aimerai sans détour Et si loin de nos chaînes, cette nuit jusqu'au jour   Puis à quoi bon se battre, oui à quoi bon mon âme Quand tout ce que nous sommes, devient ce qu'ils condamnent Et je cours après l'envie, après la nuit, après la vie Au nom des rêveurs des déjantés, des casseurs des fous à lier   Je fermerai mes yeux, mais qui bien malgré eux Vont retrouver leur bleu et s'éloigner des cieux En attendant toujours que revienne le Soleil A en devenir sourd pour revoir les merveilles  Et si loin de nos peines, je l'aimerai sans détour Et si loin de nos chaînes, cette nuit jusqu'au jour   Puis à quoi bon se battre, oui à quoi bon mon âme Quand tout ce que nous sommes, devient ce qu'ils condamnent Et je cours après l'envie, après la nuit, après la vie Au nom des rêveurs des déjantés, des casseurs des fous à lier   Pour retrouver le feu qui flambait dans nos yeux Pour raviver la flamme moi je brûlerai mon âme Je prends goût au plaisir laissez-moi me détruire J'aime ce côté obscur et quand tout est si pur   Aspiré par le beau ébranlé de plaisir, Monter encore plus haut et qui sait ressentir Je ne compte plus les traces qui me séparent de toi Comme dans un coup de grâce, je retrouverai ma place   Puis à quoi bon se battre, oui à quoi bon mon âme Quand tout ce que nous sommes, devient ce qu'ils condamnent Et je cours après l'envie, après la nuit, après la vie Au nom des rêveurs des déjantés, des casseurs des fous à lier